« L'intelligence est la faculté permettant de comprendre les choses et les faits, de découvrir les relations entre eux et d'aboutir à la connaissance conceptuelle et rationnelle ».
Appliquée aux ressources humaines, l’intelligence RH permet de comprendre les liens existants entre différentes variables ; par exemple la performance et des variables telles que la formation initiale, le parcours préalable, les compétences techniques ou comportementales, mais également la satisfaction professionnelle, les traits de personnalité, le niveau de stress, les possibilités d’évolution… Par exemple, telle compétence sera systématiquement facteur de performance, a contrario telle autre n’aura aucun impact. Un niveau de formation initiale peut également être en corrélation avec la performance. Concernant les traits de personnalité, il existe systématiquement des traits porteurs de performance. Bien évidement, ils vont varier selon le métier exercé, ses spécificités et le contexte organisationnel.
Des interactions entre variables sont également mesurées ; par exemple les liens entre l’ambition individuelle, l’ancienneté au poste, les opportunités d’évolution et la performance. Ainsi, il apparaît que les ambitieux ont tendance à se démotiver lorsque l’organisation ne permet pas leur évolution. De manière générale, pour tous les métiers nous pouvons identifier des facteurs propres aux performants que ne possèdent pas les contre performants.
Toutes ces données sont collectées par l’intermédiaire de solutions digitales conçues pour pouvoir comprendre et retraiter l’information. Il s’agit de solutions de dernière génération, dites ‘’intelligentes’’.
L’intelligence RH va permettre à l’entreprise de toujours progresser. En effet, elle va pouvoir optimiser ses investissements formation. Sécuriser ses recrutements en sélectionnant les facteurs de performance et en écartant les profils porteurs de performance ou d’insatisfactions. Tous ceci aura un impact positif sur la performance, mais également sur les fondamentaux RH tels que l’absentéisme, le turn over subi, le climat social, les accidents de travail… Le capital humain se bonifie.